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France : la grande régression des libertés

Des esprits simples, et optimistes, auraient pu croire que la « grande marche aux libertés » lancée au XVIIIème siècle serait irréversible et que les citoyens d’une nation libre seraient de plus en plus libres eux-mêmes. Liberté de pensée, liberté d’expression, liberté de manifester, liberté d’aller et venir : la liberté volait de victoire en victoire, chacune étant présentée comme irréversible.

Hélas, depuis quelques décennies, concomitamment à la dissolution de la souveraineté nationale et populaire, les libertés s’effritent les unes après les autres sous nos yeux incrédules : c’est cette régression, plus rapide qu’on n’ose le voir, qu’analyse ici Maître Frédéric Pichon, un de ces jeunes avocats courageux qui de tous côtés tirent la sonnette d’alarme face à un pouvoir politique et une institution judiciaire non seulement conquis par des idéologies, mais des idéologies liberticides.

Frédéric Pichon, spécialiste des libertés publiques, se porta spontanément au secours de militants de «La Manif Pour Tous » poursuivis en dépit de toute forme de droit, puis des « Gilets Jaunes » réprimés par les moyens les plus odieux, qu’on aurait cru ne jamais revoir. Occasion de remercier cet avocat infatigable, membre du SIEL, puis de DLF et actuellement du PCD (VIA), qui illustre à lui seul cet « esprit de liberté » qui fut toujours l’une des plus sûres inspirations de notre Histoire.

Un vent mauvais souffle sur la France, ce pays des libertés que le monde, paraît-il, nous envie. Depuis quelques années, ces libertés n’ont cessé de reculer. Les praticiens du droit, à la pointe de ces combats spécialisés (droit de la presse, libertés publiques) n’ont eu de cesse d’alerter l’opinion sur ces reculs drastiques des libertés fondamentales.

La censure sur les réseaux existe déjà, indépendamment de cette loi Avia avortée ; car les opérateurs se livrent depuis quelque temps à une censure de fait d’articles, de publications ou de comptes.

Puis ce fut au tour du grand public, tant à l’occasion de manifestations sur la voie publique (Manif pour tous, Gilets jaunes) qu’en diverses autres occasions (censure sur internet et sur les réseaux sociaux) de découvrir parfois brutalement des atteintes aux libertés que l’on croyait acquises. Un point de droit s’impose pour analyser cette grave régression qui place notre pays à la pointe de la censure mondiale, par exemple sur le net…

…lisez la suite dans le 1er numéro !

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