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Covid, une gestion désastreuse

Les Français connaissent le nom comme le visage de Valérie Boyer, élue en 2007 jeune député de Marseille, ancienne porte parole de LR puis, pendant la campagne présidentielle, de François Fillon –dont, fait remarquable, elle est restée jusqu’au bout un indéfectible soutien.

Son parcours professionnel et politique lui donne une rare diversité de compétences : diplômée de Sciences Politiques, licenciée de langue anglaise et de langue espagnole, elle fut aussi élève à l’Ecole du Louvre et devint, après de nouvelles études au Centre National d’Etudes Supérieures de Sécurité sociale (CNESSS), cadre supérieure de la Sécurité sociale. Elle fut aussi auditrice à l’IHEDN, ce qui explique peut être ses initiatives internationales et le choix qu’elle fit, à l’Assemblée nationale, de siéger à la Commission des Affaires étrangères. Cet entretien, que nous la remercions d’avoir bien voulu nous accorder, aborde donc plusieurs sujets.

Comment comprenez vous que l’actuelle pandémie ait été si mal gérée ?

Pour reprendre les mots de notre ancien Premier Ministre, cette crise a révélé ce que « l’humanité a de plus beau et de plus sombre ». Ce qui est sombre, bien sûr ce sont les morts et les familles en deuil ; et c’est d’avoir laissé des gens mourir seuls dans leur chambre d’hôpital ou d’EHPAD sans que leur famille ne puisse les revoir ou même leur rendre un dernier hommage. Nous devons nous interroger sur les signaux extrêmement négatifs qu’envoie une société qui ne se préoccupe pas du sort de ses aînés. Il en va de la responsabilité morale et éthique de la 6e puissance économique mondiale !

Ce barrage officiel contre la chloroquine, couplé aux réactions violentes contre le professeur Raoult, soulève de nombreuses interrogations quant à l’organisation du pouvoir médical en France.

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